[ad_1]
La Corée du Sud a réussi à ralentir la propagation du coronavirus. Parallèlement aux mesures et aux tests de quarantaine généralisés, l’utilisation novatrice de la technologie dans le pays est considérée comme un facteur critique dans la lutte contre la propagation de la maladie. Alors que l’Europe et les États-Unis ont du mal à faire face, de nombreux gouvernements se tournent vers les outils d’IA pour faire avancer la recherche médicale et gérer la santé publique, maintenant et à long terme: des solutions techniques pour la recherche des contacts, le suivi des symptômes, les certificats d’immunité et d’autres applications sont en cours. Ces technologies sont certes prometteuses, mais elles doivent être mises en œuvre de manière à ne pas porter atteinte aux droits de l’homme.
Séoul a collecté de manière approfondie et intrusive les données personnelles de ses citoyens, analysant des millions de points de données provenant des transactions par carte de crédit, des séquences de vidéosurveillance et des données de géolocalisation des téléphones portables. Le ministère sud-coréen de l’Intérieur et de la Sécurité a même développé une application pour smartphone qui partage avec les autorités les données GPS des individus en quarantaine. Si les personnes en quarantaine franchissent la «clôture électronique» de la zone qui leur est attribuée, l’application alerte les autorités. Les implications pour la confidentialité et la sécurité d’une surveillance aussi étendue sont profondément préoccupantes.
La Corée du Sud n’est pas la seule à exploiter les données personnelles dans les efforts de confinement. La Chine, l’Iran, Israël, l’Italie, la Pologne, Singapour, Taïwan et d’autres ont utilisé les données de localisation des téléphones portables pour diverses applications chargées de lutter contre les coronavirus. Suralimenté d’intelligence artificielle et …
Voir la source de cette publication
[ad_2]