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Le ministère américain de la Justice a annoncé aujourd’hui la perturbation de l’opération de ransomware Netwalker et la mise en accusation d’un ressortissant canadien pour implication présumée dans les attaques d’extorsion de cryptage de fichiers.
Plus tôt dans la journée, BleepingComputer a rapporté que les forces de l’ordre aux États-Unis et en Bulgarie avaient saisi des sites Netwalker sur le dark web utilisés pour divulguer des données à des victimes non payantes et pour négocier des paiements pour le décryptage des données.
Dans un communiqué de presse publié il y a quelques minutes, le DOJ confirme le succès de l’effort de démantèlement en coopération avec le Service national d’enquête bulgare et la Direction générale de la lutte contre la criminalité organisée.
Affilié Netwalker facturé
Malgré son démarrage fin 2019, l’opération de ransomware Netwalker a causé des pertes financières de dizaines de millions de dollars américains. Un rapport d’août 2020 note que les acteurs ont gagné 25 millions de dollars en seulement cinq mois d’activité.
En plus de s’emparer des sites Web sombres, le DOJ affirme que le ressortissant canadien Sébastien Vachon-Desjardins de Gatineau a été inculpé pour des attaques de ransomware Netwalker.
Il est allégué que Desjardins a obtenu plus de 27,6 millions de dollars de l’activité d’extorsion. Son rôle dans l’opération a commencé au moins en avril 2020, indiquant qu’il est affilié et ne fait pas partie de l’équipe de développement.
«Selon un acte d’accusation non scellé aujourd’hui, Sébastien Vachon-Desjardins de Gatineau, un ressortissant canadien, a été inculpé dans le Middle District de Floride. Vachon-Desjardins aurait obtenu au moins plus de 27,6 millions de dollars à la suite des infractions reprochées dans l’acte d’accusation.
Le modèle que la plupart des développeurs de ransomwares suivent pour leurs opérations est de déployer un service et de recruter des affiliés comme Desjardins qui trouvent des victimes de grande valeur, les brisent et déploient Netwalker sur leurs systèmes. L’argent de la rançon est ensuite réparti entre les deux partenaires, les affiliés prenant la plus grosse part.
Le 10 janvier, la loi …
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