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En moins de trois mois et nonobstant l’intervention, TikTok sera effectivement interdit aux États-Unis à moins qu’une entreprise américaine n’intervienne pour le sauver, après que l’administration Trump a déclaré par décret cette semaine que l’application de partage de vidéo construite en Chine était une menace pour la sécurité nationale.
Quelle menace TikTok pose exactement reste à voir. Les responsables américains sont convaincus que l’application pourrait être contrainte par Pékin d’aspirer des tonnes de données occidentales à des fins de renseignement. Ou l’application, adorée par des millions de jeunes électeurs américains, est-elle simplement un pion dans la longue impasse politique de l’administration Trump avec la Chine?
Vraiment, la réponse est un peu des deux – même si sur le papier TikTok n’est pas pire que la menace locale à la vie privée posée par les géants de la Big Tech: Facebook, Instagram, Twitter et Google . Mais la menace étrangère de Pékin à elle seule était suffisante pour que l’administration Trump ait besoin de sévir contre l’application – et les vidéos critiquaient fréquemment les actions de l’administration.
Pour sa part, TikTok dit qu’il se battra contre l’action de l’administration Trump.
Les regards décryptés de cette semaine sur TikTok au milieu de son interdiction imminente. Nous verrons pourquoi l’interdiction est peu probable, même si les problèmes de confidentialité et de sécurité persistent.
LA GRANDE IMAGE
Le chien de garde d’Internet affirme qu’une interdiction de TikTok est une «graine de véritable problème de sécurité enveloppé dans une couche épaisse de censure»
Le verdict de l’Electronic Frontier Foundation est clair: les États-Unis ne peuvent pas interdire TikTok sans violer le premier amendement. Interdire l’application serait une énorme restriction de la liberté d’expression, qu’il s’agisse d’interdire aux magasins d’applications de la servir ou de la bloquer au niveau du réseau.
Mais il existe encore des problèmes légitimes de sécurité et de confidentialité. Le gros problème pour les autorités américaines est que la société mère de l’application, ByteDance, a du personnel en Chine et est soumis aux règles de Pékin.
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