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La plus haute juridiction européenne confirme qu’il n’y a pas de surveillance de masse sans limites – infos

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La plus haute juridiction d’Europe a infligé une autre gifle aux régimes de surveillance de masse gouvernementaux aveugles.

Dans une décision rendue aujourd’hui, la CJUE a clairement indiqué que les préoccupations de sécurité nationale n’excluaient pas les États membres de l’UE de la nécessité de se conformer aux principes généraux du droit de l’UE tels que la proportionnalité et le respect des droits fondamentaux à la vie privée, à la protection des données et à la liberté d’expression.

Cependant, la Cour a également autorisé des dérogations, affirmant qu’une menace urgente à la sécurité nationale peut justifier une collecte et une conservation limitées et temporaires de données en vrac – plafonnées à «ce qui est strictement nécessaire».

Si les menaces à la sécurité publique ou la nécessité de lutter contre la criminalité grave peuvent également permettre une rétention ciblée de données à condition qu’elles soient accompagnées de «garanties efficaces» et examinées par un tribunal ou une autorité indépendante.

La référence à la CJUE s’est jointe à un certain nombre d’affaires, y compris des contestations judiciaires intentées par le groupe de défense des droits Privacy International contre les pouvoirs de collecte en masse cuits dans la loi britannique sur les pouvoirs d’enquête; une contestation par La Quadrature du Net (et autres) d’un décret français de 2015 relatif aux services de renseignement spécialisés; et une contestation de la loi belge de 2016 sur la collecte et la conservation des données de communication.

Les militants des droits civiques attendaient avec impatience les arrêts rendus aujourd’hui par la Grande Chambre, à la suite d’un avis rendu par un conseiller de la Cour en janvier qui impliquait que certains régimes de surveillance de certains États membres de l’UE enfreignaient la loi.

Au moment de la rédaction de cet article, les principaux plaignants n’avaient pas encore répondu.

Bien sûr, la définition d’une agence gouvernementale de la quantité de données collectées est «strictement nécessaire» dans un contexte de sécurité nationale (ou, en fait, ce qui constitue un …

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