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Dépendance croissante du SaaS a ouvert la porte à l’informatique fantôme : des applications SaaS achetées par des employés individuels à l’insu ou sans l’approbation du service informatique de leur organisation.
Alors que le shadow IT peut être une opportunité d’innovation, s’il n’est pas traité, il peut entraîner des risques tels que des abonnements en double, des dépenses informatiques gaspillées, un manque de conformité et un risque accru de violation de données.
En tirant parti de la gestion SaaS et en prenant certaines mesures, les entreprises peuvent gérer plus efficacement le shadow IT, acquérir un avantage concurrentiel, réduire les coûts inutiles et responsabiliser une main-d’œuvre répartie.
Pour éviter les conséquences négatives associées au shadow IT, vous devez donner aux équipes informatiques une visibilité sur l’ensemble du portefeuille SaaS de votre organisation. Une fois que le service informatique a une vue d’ensemble sur toutes les applications en cours d’utilisation et sur la manière dont elles sont utilisées, il est en mesure d’optimiser les investissements. Optimisez vos investissements SaaS avec ces conseils :
La mise en œuvre du SaaS en libre-service dans votre organisation est plus facile que vous ne le pensez.
Découvrez toutes les applications et dépenses SaaS
Certaines organisations adoptent une approche basée sur des feuilles de calcul pour gérer leurs applications SaaS. D’autres se tournent vers les plug-ins de navigateur Web, les outils d’authentification unique et les courtiers de sécurité d’accès au cloud. Mais ces processus de découverte peuvent prendre du temps et impliquer de reconstituer des inventaires SaaS à partir de sources disparates, ce qui entraîne souvent des enregistrements obsolètes avant même d’être terminés.
Même la feuille de calcul la plus détaillée et fréquemment mise à jour n’est pas toujours le moyen le plus efficace de gérer le SaaS, surtout si l’on considère que les organisations gèrent en moyenne plus de 650 applications SaaS et qu’elles sous-estiment de deux à…
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