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- Nous avons pris des mesures contre quatre groupes distincts de pirates informatiques du Pakistan et de la Syrie.
- L’activité malveillante du Pakistan visait des personnes en Afghanistan.
- Trois groupes de piratage syriens distincts ont ciblé un large éventail de personnes en Syrie, notamment la société civile, des journalistes, des organisations humanitaires et les forces militaires anti-régime. Chacun de ces trois groupes de piratage avait des liens avec le gouvernement syrien, y compris les services de renseignement de l’armée de l’air syrienne.
Aujourd’hui, nous partageons les actions que nous avons menées contre quatre groupes distincts de pirates au Pakistan et en Syrie au cours des derniers mois. Pour perturber ces groupes malveillants, nous avons désactivé leurs comptes, bloqué la publication de leurs domaines sur notre plate-forme, partagé des informations avec nos pairs du secteur, des chercheurs en sécurité et les forces de l’ordre, et alerté les personnes qui, selon nous, étaient ciblées par ces pirates.
Le groupe pakistanais — connu dans l’industrie de la sécurité sous le nom de Copie latérale – a ciblé des personnes liées au précédent gouvernement afghan, à l’armée et aux forces de l’ordre à Kaboul. En Syrie, nous avons supprimé trois groupes de pirates informatiques distincts ayant des liens avec le gouvernement syrien. Le premier réseau en Syrie — connu sous le nom de Armée électronique syrienne — a ciblé des militants des droits humains, des journalistes et d’autres groupes opposés au régime au pouvoir. Nous avons lié cette activité aux services de renseignement de l’armée de l’air syrienne. Le deuxième réseau en provenance de Syrie – connu dans la communauté de la sécurité sous le nom d’APT-C-37 – ciblait des personnes liées à l’Armée syrienne libre et d’anciens militaires qui avaient depuis rejoint les forces d’opposition. Notre enquête a lié cette activité de l’APT-C-37 à ce que nous pensons être une unité distincte des services de renseignement de l’armée de l’air syrienne. Enfin, le troisième réseau de Syrie ciblait les groupes minoritaires, les militants, l’opposition, les journalistes kurdes, les militants, les membres des Unités de protection du peuple (YPG) et la Défense civile syrienne ou Casques blancs, une organisation humanitaire bénévole. Notre enquête a trouvé des liens entre ce…
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