Mauvaise gestion des données de confidentialité est une responsabilité cachée au sein de toute entreprise commerciale. La définition même des données de confidentialité évolue avec le temps et a été élargie pour inclure les informations concernant la santé, la richesse, les notes universitaires, la géolocalisation et les comportements de navigation sur le Web. Les réglementations prolifèrent aux niveaux étatique, national et international qui cherchent à définir les données de confidentialité et à établir des contrôles régissant leur maintenance et leur utilisation.

Les réglementations existantes sont relativement nouvelles et se traduisent en pratiques commerciales opérationnelles à travers une série de défis judiciaires qui sont actuellement en cours, ajoutant à la confusion concernant les procédures appropriées de traitement des données. Dans cet environnement déroutant et parfois chaotique, les risques pour la vie privée auxquels font face presque toutes les entreprises sont souvent ambigus, en constante évolution et en constante expansion.

Les outils classiques de sécurité de l’information (infosec) sont conçus pour empêcher la perte par inadvertance ou le vol intentionnel d’informations sensibles. Ils ne sont pas suffisants pour empêcher la mauvaise gestion des données de confidentialité. Les garanties de confidentialité doivent non seulement empêcher la perte ou le vol, mais elles doivent également empêcher l’exposition inappropriée ou l’utilisation non autorisée de ces données, même en l’absence de perte ou de violation. Une nouvelle génération d’outils infosec est nécessaire pour faire face aux risques uniques associés à la gestion des données de confidentialité.

La première vague d’innovation

Une variété d’outils de sécurité axés sur la confidentialité a émergé au cours des dernières années, déclenchée en partie par l’introduction du RGPD (règlement général sur la protection des données) …