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Mais des obstacles réglementaires croissants attendent

C’est facile d’oublier que Microsoft avait l’habitude de trébucher de temps en temps, surtout quand on regarde sa capitalisation boursière voyante de 2 billions de dollars aujourd’hui. Vers 2010, quatre ans avant que Satya Nadella ne succède à Steve Ballmer en tant que PDG, la société a presque complètement raté le bateau mobile.

Lorsque Nadella est arrivée en tant que PDG il y a huit ans, sa mission semblait être de s’assurer que l’entreprise ne commette pas la même erreur avec le cloud. Une façon d’y parvenir serait de jeter de l’argent sur le problème et d’acheter simplement les entreprises pour faciliter le chemin.

Depuis sa création, Microsoft a acquis 250 entreprises, selon les données de Crunchbase, mais la plupart des transactions les plus importantes, totalisant 5 milliards de dollars ou plus, ont eu lieu pendant le mandat de Nadella. Les deux exceptions étaient Nokia et aQuantative, qui se sont toutes deux produites sous Ballmer, et aucune n’a très bien fonctionné.

Les trois plus importants, dont l’accord Activision de 69 milliards de dollars annoncé en janvier, l’accord de 26 milliards de dollars pour LinkedIn en 2016 et l’achat de Nuance Communications pour 20 milliards de dollars l’année dernière, se sont tous produits avec Nadella dans le bureau du coin.

Le défi pour Nadella et Microsoft dans les années à venir sera de naviguer dans une surveillance réglementaire croissante tout en s’efforçant de maintenir la société largement diversifiée.

Microsoft a depuis longtemps les ressources et la capacité de gérer plusieurs grandes entreprises, comme l’a souligné Jared Spataro, vice-président d’Office 365, dans son entretien TC Sessions : SaaS l’année dernière : « Le contexte pour Microsoft était notre capacité à développer plusieurs, de très grandes entreprises qui fonctionnaient en parallèle. Donc, cette idée que nous avions plusieurs entreprises de plus d’un milliard de dollars [like the] Métiers Windows et Office… Même un métier serveur associé à la productivité [certainly helped].”

Ces ressources ont considérablement augmenté à mesure que la capitalisation boursière de l’entreprise a grimpé en flèche….

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